Les premières années d’immigration ont été atroces. Il n’y a rien de moins naturel que de quitter sa terre. Lorsque je regarde les photos des œuvres de cette époque, je suis touchée par ma douleur, le témoignage lugubre de mon mal-être. Je peignais en pleurant, mes enfants , mes parents qui vieilliraient sans moi, mes amis, le soleil, la mer.
Sombre, et pourtant très beau… et puissant. J’avoue (à ma grande honte!) que je ne connaissais pas vos oeuvres et je les trouve envoûtantes.
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Merci, Francine.
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